Transcriptions écrites
Le 13 juillet 1997 - Notre-Dame de Trédos
Prenez votre bâton de pèlerin, il faut que vous preniez votre balluchon et que vous alliez sur le chemin de la Terre afin d’aider tous ceux qui sont dans la tristesse, dans l’amertume, dans la pauvreté, il faut que vous bougiez, que vous alliez au-devant des autres ; il faut absolument sortir de ce marasme tous les gens qui y sont tombés par la faute de l’argent, par la faute du modernisme. Au travers de votre vie actuelle, vous n’avez même pas su reconnaître qui était Dieu et qui était le Malin. Je suis là simplement pour vous aider et vous apporte un secours permanent, afin de vous guider sur ce chemin. J’ai passé aussi mon temps sur les routes. J’ai vécu la maladie, j’ai vécu la pauvreté, la misère, le froid, le chaud, la faim, vous devez en faire autant, je suis là pour vous aider. On m’appelait le petit Paul. Tous ceux que j’ai aidés sont au Paradis maintenant, ils sont avec vous en train de prier afin que vous suiviez le chemin de Dieu le Père. J’ai marché pieds nus tant de fois et quand je vous vois, galvaudés tels que vous êtes, vous ne méritez pas de suivre ce chemin, vous n’êtes pas réveillés à la parole de Dieu. Vous êtes au sein de votre vie des robots, des gens que l’on manipule, que l’on même à droite, à gauche, selon la volonté de l’un ou de l’autre. Il n’y a qu’une volonté, c’est la volonté Divine, c’est la volonté qui doit vous montrer le paradis, c’est la volonté qui doit vous apprendre l’enseignement d’Amour et de Paix au travers de tous les hommes. Ce n’est pas en embrassant son frère qu’on lui apporte tout le bonheur, non, c’est en lui donnant tout ce que l’on a, alors oui, là, Dieu passe de l’un vers l’autre et vous êtes tous deux unis avec Dieu. Il faut donner, donner, partager, offrez ce que vous avez, Dieu le multipliera cent fois quand vous serez au paradis. Mais voilà, le chemin est encore long parce que vous faites deux pas en avant, un pas en arrière, vous avez peur ; allez de l’avant, vous êtes soutenus et vous serez toujours soutenus. Je vous laisse avec votre Mère. Saint Vincent de Paul Mes enfants, Vous êtes mes enfants chéris et je vous aime. Au travers de mes messages, je laisserai certains Saints vous parler, afin qu’eux aussi vous apportent tout ce que vous méritez. Même s’ils vous font des reproches, sachez qu’ils sont là pour vous aider et prier pour vous. Mes enfants, le cri de désespoir de mon Fils n’est toujours pas entendu, on oublie trop souvent les messages que je transmets. Il faut absolument vous éveiller à la souffrance de mon Fils. Il faut aller Le contempler. Il faut aller L’adorer ; priez en Lui et Il vous comblera de sérénité et de bienfaits. Sachez que Dieu est en tous, que Dieu est en vous, cherchez-Le au fond de vous, mettez-vous en union avec Lui par la prière. Alors oui, quand vous L’aurez rencontré au fin fond de vous, vous pourrez aller de l’avant et vous pourrez aider autrui. Mais voilà, vous écoutez d’une oreille distraite et vous oubliez trop rapidement. Remettez-vous en cause au travers de chaque message, écoutez-les, pensez-les, vivez-les, car c’est en les vivant que vous vivrez avec Dieu et que vous aiderez autrui. Mes enfants, ne craignez rien car vous êtes soutenus par le Ciel ; alors, n’hésitez pas, prenez ce bâton de pèlerin et allez de l’avant, allez auprès de vos frères, tant de fois je vous l’ai dit, et tant de fois vous avez reculé. Mes enfants, l’avenir n’est pas tout rose et pourtant vous aurez le sourire aux lèvres. Votre marche ne sera pas tremblante car je serai là pour vous soutenir, car je serai là pour vous guider, dépêchez-vous, dépêchez-vous, car dans le monde entier où je vais, je laisse des signes, je laisse beaucoup d’espoir, mais peu m’écoutent et peu mettent en pratique. Il faut absolument développer la foi en Dieu, il faut absolument que les conversions se multiplient, il faut absolument faire sauter le verrou du Malin, le verrou du matérialisme. C’est en suivant ce matérialisme, c’est en vous rangeant dans un petit confort précaire que vous oublierez que Dieu est Dieu. Dieu est au travers de tous les chemins, est au travers de tous les miséreux et de tous les malades ; allez vers eux, et alors oui vous comprendrez qui est Dieu et où Il est. Mes enfants, n’oubliez pas que la Maison de mon Fils est ouverte à tout le monde. Allez dans cette Maison, recueillez-vous, priez, priez pour tous ceux qui ne croient pas, pour tous ceux qui refusent, priez surtout pour tous ceux-là, priez surtout pour tous ceux qui passent à côté de vous et ricanent, priez surtout pour tous ceux qui en regardant Jésus lui crachent dessus. Il faut savoir qu’à l’heure actuelle, beaucoup passent devant l’effigie de mon Fils et l’insultent et crachent dessus. A l’heure actuelle, mon Fils souffre toujours des tourments du Calvaire. C’est par vos prières que vous arriverez à soulager ses peines, par vos prières, le Rosaire, par vos sacrifices, le jeûne, mais aussi par toute la lumière que vous pourrez apporter autour de vous, par toutes les bonnes paroles que vous colporterez autour de vous. Mes enfants, il faut absolument dénouer le carcan qui vous empêche d’aller de l’avant ; ce carcan, il est simple, c’est vous-même, vous-même dans votre matérialisme, vous-même avec votre ego ; libérez votre ego ; pour une fois allez au devant de ceux qui souffrent, ils ont besoin de vous et ma maison sera ouverte à tous ceux qui souffrent, elle ne sera faite que pour tous ceux qui souffrent. Ne vous inquiétez pas, tout est en marche et tout se réglera en temps voulu. Mais la prière sera l’élément essentiel à la venue de tous ces gens dans ma maison et au retour de cette maison vis-à-vis de vous, car cette maison sera dédiée au monde entier et pour tous et tous y viendront. Mes enfants, le siècle finit et les douleurs vont commencer. N’ayez peur, tous ceux qui iront à cœur ouvert vers Dieu seront soulagés et sauvés, tous ceux qui se fermeront à l’appel de mon Fils mourront dans la douleur, le tourment, car ils n’auront pas voulu écouter le dernier appel de mon Fils, car il n’y en aura pas d’autre. Il reste un appel, un signe que tout le monde verra. Ce signe sera dans le ciel une lumière éblouissante et si belle à regarder ; tout le monde la verra, mais peu y croiront. Beaucoup périront de n’avoir réfléchi et cru. Mes enfants, n’ayez crainte car tout l’Amour de mon Fils se reportera sur Ses enfants ; tous ceux qui L’auront suivi, qui L’auront écouté, tous les convertis, tous ceux qui auront apporté même une simple petite prière auront l’Amour de mon Fils et seront sauvés par ce nouveau monde, le monde de Paix et d’Amour dédié à Dieu le Père en union avec tous ses enfants. Mes enfants, je vous remercie d’êtres venus si nombreux en ce jour, je vous remercie pour cette date, je reviendrai encore un an… deux ans et je ne reviendrai plus. Priez, dépêchez-vous de prier, le temps se raccourcit. Je reviendrai dans un mois pour la fête de Marie, pour ma fête que je dédierai à mon Fils Mes enfants, je vous aime, comme une mère et je vous accorde tout cet amour pour que vous soyez soulagés sur le chemin de la connaissance et de l’amour. Mes enfants, mon Fils vous bénit : « Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit ». Merci, mes enfants, je reviens dans un mois.